Formateur, passionné par ce métier, et aussi par tout ce qui touche au développement personnel et aux ressources humaines (pour plus de précisions, rendez-vous sur mon
site pro).
En dehors de ça j’adore faire mon intéressant en écrivant des chansons et des nouvelles, en faisant un peu de théâtre, mais aussi en dessinant des petits personnages, et beaucoup d’autres choses encore...
Voilà. Portez-vous bien, j'ai hâte de vous lire à mon tour :-)
Formateurs : une "offre d'emploi" à se faire rouler dans la farine...
--> Authentique ! Vu sur le net ! Ce n'est (hélas) pas une blague !
Formateur H/F
Présentation
Organisme de formation [...]
Mission
- Prospection clients auprès des PME et PMI - Vente de programmes de formations - Animation d'atelier de formation en inter-établissement - Avoir le souhait d'intégrer une franchise et posséder un apport minimum de 55 K€
Voilà. Je vous assure n'avoir rien changé.
Ce qui est à se rouler par terre (...ou à pleurer, c'est selon...) c'est que ce genre d'annonce (dont on peut comprendre l'existence, après tout, pourquoi pas...) est classée sans rire parmi les... offres d'emploi !
Voilà qui donne envie d'inviter ces annonceurs à concourir aux nominations pour des "Foutages de gueule awards"...
La tragique histoire du viticulteur Emmanuel Giboulot, et le buzz qui s'en est suivi
Comme nous le serinent les rédacteurs et autres spécialistes en marketing, ce n'est pas l'intellect, mais bel et bien les émotions qui sont à l'origine de la formation des opinions. Et en la matière, l'émotion la plus puissante est la peur. D'une manière générale, toutes les causes, tous les combats sont perdus d'avance pour qui ne tient pas compte des règles du marketing.
Ce qui fait froid dans le dos, c'est quand on perçoit (...ou croit percevoir) ce genre de ficelles dans le cadre d'une cause qui peut nous être plutôt sympathique par ailleurs...
Un dangereux pesticide…
Tout récemment j'ai reçu une avalanche de messages faisant état d'un appel à pétition. Voilà ce dont il s'agit :
Emmanuel Giboulot, viticulteur biodynamique, annonce qu'il est actuellement poursuivi devant les tribunaux pour avoir refusé de déverser sur ses vignes un dangereux pesticide censé lutter contre "la cicadelle", insecte propagateur d'une redoutable maladie pour les vignes : la "flavescence dorée". Le phylloxera à côté, c'est de la petite bière.
Suivait un appel "classique" à aller signer une pétition... Je suis donc déjà allé y voir... pour constater très rapidement qu'il y a des tas de sites qui relaient cette info de passage en correctionnelle d'un viticulteur pour utilisation d'un "dangereux pesticide", avec moult photos représentant une abeille morte, et autres joyeusetés.
Assurément, cela donnait envie de s'associer à ce beau mouvement de solidarité des gentils contre les méchants, sauf que...
Impossible de trouver le nom du produit incriminé… et ça ne semble déranger personne !
…Sauf que j'ai eu beau cliquer partout comme un forcené, je n'ai trouvé nulle part le nom du pesticide incriminé… J'ai bien vu la tête tout à la fois désolée et furieuse du monsieur, j'ai entendu sa voix, j'ai lu des messages de soutien, visionné plein de photos (dont celle de l'abeille....) mais je n'ai trouvé nulle part le nom du produit en question. Peut-être n'ai-je pas eu de chance, peut-être d'autres seront tombés dessus au bout de 2 clics, mais moi pas, c'est ainsi.
Et j'ai trouvé cela fort dommage, car cela m'aurait peut-être permis d'aller faire mes propres recherches, et peut-être de me faire ma propre opinion.
Autant il est vrai qu'on nous raconte n'importe quoi pour nous faire ingérer des tonnes de saletés prétendument saines et inoffensives sans notre consentement, autant j'éprouve le besoin de savoir de quoi il retourne exactement quand je lis "...un dangereux pesticide". Désolé de ne pas me satisfaire de cette simple formulation.
De plus, je m'étonne encore aujourd'hui que ces trois mots ("un dangereux pesticide") suffisent, apparemment, à faire cliquer des tonnes de gens comme un seul homme sur la pétition, sans que le nom de ce si dangereux produit ne soit mentionné nulle part (sauf à passer un temps fou en recherches...).
Attention, je n'affirme pas que le pesticide en question n'est pas dangereux, m'ai j'ai juste éprouvé le besoin de chercher à savoir plus précisément ce dont il s'agissait, c'est tout...
A la pêche aux infos...
J'ai donc tâché de me renseigner auprès de personnes relativement au fait de ces choses-là avant de me prononcer. Par chance, j'ai enfin pu finir y voir plus clair.
Ce qui était annoncé comme "un dangereux pesticide" était en fait un sacré cocktail... pire que ce que je pensais... Pourtant, à l'arrivée, les choses ne sont pas si simples qu'il n'y paraît !
Voici comment j'ai pu arriver (tout seul, comme un grand) à cette conclusion :
Il se trouve qu'une des nombreuses personnes que j'ai sollicitées sur le sujet est une scientifique qui sait garder la tête froide et qui ne se prononce jamais à la légère. De plus, je sais qu'elle n'a a ni "vendu son âme aux laboratoires", ni "contracté le virus de la pétitionnite" à chaque fois qu'on lui annonce que des méchants s'en prennent à des gentils.
Elle se déclare elle-même comme n'étant pas spécialiste du sujet, mais je connais suffisamment ses états de service pour savoir qu'elle est infiniment plus au fait de ces questions-là que je ne peux l'être moi-même.Curieusement, son humilité me fait lire sa prose avec d'autant plus d'attention. Je ne résiste donc pas au plaisir de retranscrire ci-dessous ce qu'elle m'en a dit :
La réponse que j'ai reçue de la part d'une personne beaucoup plus informée que moi
-------------------------- Début de la réponse --------------------------
Difficile sujet.... une vraie saloperie la cicadelle et la flavescence dorée qui nécessite des mesures 'collectives' et peut conduire en cas de dissémination à l'arrachage des vignes.
Il n'y a pas à priori de "traitement propre" curatif, efficace en cas d'infestation, et les divers produits autorisés par la réglementation sont particulièrement toxiques. Il suffit de lire les fiches de sécurité
[... Remarque perso : , il y avait des pièces jointes faisant effectivement état de la toxicité des produits incriminés, produits qu'elle n'avait eu aucun mal à identifier en deux coups de souris à pot, contrairement à moi à la réception de ces fameuses alertes. Je confirme qu'effectivement, ça "ne donne pas envie d'en manger", c'est le moins qu'on puisse dire... :-) Si ça intéresse quelqu'un je tiens ces pièces à disposition...]
Éternel débat autour de la gestion du risque: doit-on mourir du cancer ou des effets secondaires liés à la chimio…Sauf qu'ici c'est un écosystème qui est en jeu : que l'on traite ou que l'on ne traite pas.Voilà quelques éléments sans autre prétention que nourrir ta réflexion, mais je ne suis pas une spécialiste du sujet...
-------------------------- Fin de la réponse --------------------------
Mes propres conclusions
Pour ma part je conclus de tout ceci que les choses sont beaucoup plus compliquées que ce qui m'a été tout d'abord présenté dans les appels multiples que j'ai reçus ces jours-ci.
Il est vrai que les "forces de l'argent" s'y entendent parfaitement, et depuis fort longtemps, pour nous faire allègrement passer les vessies pour des lanternes à grand coup d'émotion "marketée", fondée de préférence sur ce qui fonctionne le mieux : la peur (ainsi, nous craignons l'effondrement économique, alors nous
renflouons les banquiers. Nous craignons le terrorisme, alors nous finançons le
plus grand complexe militaro-industriel de tous les temps…).
Mais il est tout aussi vrai que les mouvements alternatifs de tout bord s'y mettent également, et avec la même compétence, s'ils veulent avoir une chance d'être entendus, de faire tout simplement valoir leur cause, et pour tout dire d'exister un tant soit peu dans le grand tintamarre de la planète.
Certains agissent peut-être ainsi à contre coeur, sur l'air de "...C'est pas moi qui ai commencé, m'sieur, c'est l'autre, là, en face...", mais j'avoue éprouver pour ma part les plus grandes difficultés face à cette philosophie de cour de récréation...
Du coup j'ai décidé de ne pas signer cette pétition. En même temps, cela ne fait pas de moi un farouche opposant à la vague des signataires que je devine déjà bien conséquente... que chacun se détermine donc comme il l'entend.
A bientôt,
Bien à vous,
Bernard
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PS : Quelques jours après la publication de ce post, j'ai eu la surprise de trouver un appel à signer ladite pétition en me connectant sur... mon réseau social préféré (Qui commence par un F et finit par un K). Cet appel ne faisait pas partie de l'actualité de mes contacts, mais plutôt de de ce qu'on appelle pudiquement les "publications suggérées" qu'on voit quelquefois en tête de liste. Comme chacun le sait que ce genre de "suggestions" se fait à coup d'espèces sonnantes et trébuchantes, le plus souvent pour des opérations publicitaires. A ma connaissance, la maison F...K n'est pas franchement connue pour des prises de positions publiques. Non seulement cette cause recueille en un temps record des signatures à la pelle, mais voici qu'elle lève apparemment des fonds. Elle a même eu droit à un éditorial dans le... New York Times du 2 janvier ! La vitesse supérieure paraît enclenchée...
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PPS : Pour moi, le fin mot de l'histoire a été donné par le webzine écolo Terra Eco dans une enquête publiée le 26/02/2014.
Extrait :
Un pavé dans la mare du bio
Un engouement populaire oui. Mais pas un soutien entier du secteur. Certes, le viticulteur peut compter sur l’appui très officiel de la Fédération nationale de l’agriculture biologique (Fnab) [...]. En revanche, lors d’une conférence de presse organisée le 22 février avec d’autres acteurs du secteur, Pascal Lambert, directeur du Service d’éco-développement agrobiologique et rural de Bourgogne (Serdab), un organisme qui travaille au développement du bio dans la région, se désolidarise du viticulteur. Pour lui, il faut « laisser aux professionnels le soin de régler cette problématique importante ».
Car le sujet est épineux et met mal à l’aise la profession. La flavescence dorée ? « Ça se dissémine rapidement et ça peut être mortel pour les vignes. C’est pour ça qu’il y a une obligation à traiter [...]», souligne Virgile Joly, viticulteur du Languedoc-Roussillon et membre de l’association interprofessionnelle Sud Vin bio.
--> Reprise d'un texte publié le 26/07/2010 sur le blog de Jean-François Kahn
Liliane Bettencourt vient d'être interrogée par les policiers de la Brigade financière. Voici le procès-verbal de son audition :
- Liliane Bettencourt : Messieurs les policiers, mettez les patins !
- Les policiers : Oui, Madame !
- LB : Bon, est-ce que "l'Association des orphelins de la police" a besoin d'argent ?
- Les policiers : Oui, Madame !
- LB : Bon, je vais lui faire un don. "L'Association des orphelins de la police" accepte les dons en liquide ?
- Les policiers : Oui, Madame !
- LB : Bon, je vais lui donner 900 000 euros en liquide ; ça ira ?
- Les policiers : Merci, Madame !
- LB : Je vous en prie. J'adore la police. A part ça, qu'est-ce qu'il vous fallait ?
- Un policier : Ben ...
- Un autre policier : C'est-à-dire ...
- Un autre policier : C'est gênant ...
- Un autre policier : Nous, on ne voulait pas venir vous embêter ...
- Un autre policier : On ne voulait pas vous forcer à revenir de votre résidence de Formentera ...
- Un autre policier : On ne voulait pas vous forcer à écourter vos vacances aux Baléares ...
- Un autre policier : On s'excuse ...
- Un autre policier : Franchement, on est désolé, Madame ...
- Un autre policier : On ne veut pas vous importuner ...
- Liliane Bettencourt : Oui, j'ai dû quitter les Baléares à cause de vous. J'ai dû écourter mes vacances à cause de vous. Le voyage en avion m'a fatiguée. Quelle est votre question ?
- Un policier : Avez-vous donné des enveloppes d'argent liquide à des hommes politiques, comme la presse trotskiste l'écrit dans ses torchons ?
- LB : Allons, messieurs, vous n'avez pas honte ?
- Un autre policier : Pardon, Madame.
- Un autre policier : On ne recommencera plus.
- Un autre policier : On arrête de vous embêter.
- Un autre policier : On s'en va.
- LB : Bon, ça ira pour cette fois, mais n'y revenez plus.
- Un policier : Excusez-nous de vous avoir fait perdre votre temps si précieux.
Bien installé dans votre petit home studio ou tout simplement devant votre ordinateur, par passion ou amusement, vous créez des pièces musicales dans un but précis ou par plaisir avec votre instrument favori. Votre morceau est plutôt à votre goût mais...
Vous n'avez pas nécessairement la capacité de produire une piste originale avec l'instrument voulu qui pourrait changer l'aspect de votre morceau ?...
...Eh bien, tout cela pourrait très bien être fait avec l'aide d'une personne qui maîtrise l'instrument que vous avez envie d'entendre. Le résultat peut être d'une très grande qualité, en outre cela permet de faire des rencontres virtuelles sans aucune obligation, en joignant l'utile et l'agréable !
Ce site est un réseau (entièrement gratuit) de musiciens souhaitant partager entre eux leurs talents musicaux. Il est dédié aux musiciens qui veulent créer une pièce musicale et/ou souhaitent profiter du talent de d'autres musiciens pour ajouter une piste d'instrument live afin de donner une meilleure dimension à leur composition .
Voici un aperçu de ce qui y est proposé :
Soumission de votre projet dans la "salle d'écoute"
Les musiciens écoutent votre projet et téléchargent votre pièce pour enregistrer l'instrument demandé
Les musiciens vous soumettent leur piste mixée à votre projet (ou encore séparée)
Vous choisissez la piste qui vous convient afin de construire votre pièce
Espace de téléchargement gratuit pour tous vos projets
Plusieurs logiciels à votre portée
Tutoriel pour débutants
Forum de discussion asynchrone et chat en live
Ce site est conçu à la fois pour les amateurs et les pros, le but étant de construire une pièce musicale dans l'harmonie des sons live. Il est entièrement libre et gratuit; À vos créations et amusez-vous!
Voici quelques photos des répétitions de la pièce "Enfin Seul" écrite et mise en scène par l'inénarrable Laurent Trimboli, et jouée par la compagnie "SOS Comédie Théâtre", dont j'ai la chance de faire partie...
--> Une prétentation très bien conçue (...de mon point de vue).
Cette présentation nous parle de ce qu'il convient de faire et de ne pas faire dans une présentation de type PowerPoint, et également lorsque l'on est tenté de faire passer une telle présentation dans le monde de l'e-learning...
Lire la suite de l'article...
--> Un jeu de formation inventé par l'illustre et génial Thiagi
Un jeu fabuleux auquel je me suis souvent livré auprès d’un public d’adultes en situation de formation. Il a été inventé par l’américain d’origine indienne Sivasailam Thiagarajan, génial découvreur du concept des « jeux cadres ». Les français appellent le plus souvent ce jeu « Question à foison ». En voici le principe.Lire la suite de l'article...
--> Le travail des enfants continue de bien se porter depuis 1856
Bonjour,
En 1856, Victor Hugo écrivait "Melancholia", un texte publié dans "Les Contemplations" qui dénonçait le travail des enfants et ses conséquences.
Ce texte a été étudié récemment par ma fille Alice, actuellement en classe de 4ème. Sa prof de français est pratiquement une sainte femme, à mes yeux (oui, euh, je sais, mais bon, "sage femme" ça le faisait moins ;-), car elle représente tout à fait l'état d'esprit que j'aime chez les enseignants (et je suis un ancien enseignant, précisément). Pour plus de détails sur ce que je veux dire, voir ici ou encore là.
Cette personne, donc, la même qui est à l'origine de l'aventure de la fable "Le chat et le lion" écrite il y a deux ans déjà, et déjà publiée sur ce blog ) a même donné à la classe un devoir consistant à faire une sorte de "remake" de ce texte (il y avait quelques consignes techniques qui rendaient le travail plus ardu, et en même temps plus intéressant).
Comme Alice (qui est par ailleurs une excellente élève) avait du mal à s'y mettre, elle m'a demandé de l'aider, et c'est ensemble que nous avons écrit le texte ci-dessous. Ce fut pour moi (...et je l'espère pour elle aussi) une expérience aussi féconde qu'enrichissante.
La fin de notre texte évoque enfant en train de coudre un ballon (parce que côté paradoxal de ce travail - dont on dit qu'il est parfois fait par les enfants) nous avait frappés. Ce qui est singulier, c'est que lorsque j'ai voulu rechercher "Melancholia" sur Google (dans la catégories Images) en voulant illustrer notre texte, je suis tombé précisément sur... ceci :
Comme tous les jours je marche dans les rues de la ville
Et je sais que déjà la vie n’est pas facile
Pour arriver à l’heure il faut que je me hâte
Et je presse le pas pour ne pas qu’on me batte
Dans la rue on n’entend que mon pas qui résonne
Car à cette heure-ci il n’y a jamais personne
C’est le petit matin, et on y voit à peine
Il faut que je rejoigne mon travail de peine
Venant du carrefour quelque chose a bougé
Et maintenant cela continue d’avancer
C’est un jeune garçon qui croise mon chemin
Je le vois maintenant, son âge c’est le mien
Il est fort bien vêtu et porte un beau cartable
Il me paraît tranquille, insouciant et aimable
Il n’a jamais connu les cachots ni la paille
On voit bien que la faim jamais ne le tenaille
Moi je baisse la tête vers la terre battue
Mes haillons me font honte, je crois bien qu’il m’a vu
Lui me fait un sourire et n’a pas peur du tout
Quant à moi je deviens terriblement jaloux
Il s’en va sûrement retrouver des amis
Quand moi je vais trimer presque jusqu’à la nuit
C’est lui qu’on félicite, c’est moi qu’on enguirlande
A lui les beaux sourires, à moi les réprimandes
A l’heure où les outils auront blessé mes mains
On lui demandera « Encore un petit pain ? »
J’aimerais bien pourtant que nos vies se rejoignent
Vivre son paradis et sortir de mon bagne
Car on dit que l’espoir peut franchir tous les murs
Sera-ce un jour possible ? Je n’en suis pas si sûr
Que ferions-nous ensemble, je ne saurais le dire
Tu une sais rien de moi et peux t’attendre au pire
Car j’ai autant de manques que tu n’as de vertus
J’ignore tout de toi, de ton monde, et si tu
Me lançais un ballon j’attirerais tes foudres
En disant « Non merci, je ne sais que les coudre ».
Aujourd'hui je me sens tout petit, comme une petite fourmi, et je voudrais dire merci, tout simplement. A qui ? A toutes celles et tous ceux qui m'ont touché un jour ou l’autre. Avec leur intensité, leur douceur, leur musique de l’âme.
Je pense particulièrement à ma famille qui a la gentillesse de me supporter depuis si longtemps, avec une mention spéciale pour :
Ma femme, qui reste la plus adorable des femmes, c'est magique...
Mon fils Paul, qui me surpend de jour en jour tellement il fait preuve de maturité, de délicatesse, et tant d'autres choses encore que j'en suis tout scié...
Mon fils Rody qui est le plus mimine des Rody, et qui est le champion toutes catégories du karaté, du tennis, de l'aïkido, du handball et de tout ce qui se cuisine avec du chocolat...
Ma fille Alice avec qui nous échangeons tant de pensées délicates et d'images trouvées sur le web... tiens, grâce à elle, j'ai trouvé celle-là, et je trouve qu'elle tombe particulièrement bien :