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Le livre dont il va être ici question a été écrit par deux psychothérapeutes américaines spécialisées en communication familiale. Elles ont animé pendant de nombreuses années un certain nombre de séminaires sur divers sujets, dont les phénomènes de jalousies et rivalités et entre frères et sœurs. Le livre qu’elles ont écrit ensemble constitue un condensé de ce qui s’est passé au cours de ces séminaires.
Il s’agit de :
Jalousies et rivalités et entre frères et sœurs
Adele FABER et Elaine MAZLISH – © 1989, 1993, 2003, Éditions STOCK
Dédié « à tous les frères et sœurs adultes qui cachent encore au fond de leur cœur un enfant blessé », cet ouvrage est rempli de récits, de témoignages de parents plus ou moins en souffrance, en colère, ou encore impuissants (...on peut aussi être tout cela à la fois :-) face à des phénomènes qui leur pourrissent littéralement l’existence (si jamais vous vous reconnaissez dans ces lignes, eh bien « welcome to the club » ;-).
Ce livre m’a été recommandé lors de l’été 2004 par un couple d’amis Mayennais en proie aux mêmes problèmes (mais je pense que nous sommes plutôt nombreux, en définitive... en fait le problème me semble parfois aller de pair avec le fait d’élever plusieurs enfants...).
En relisant mes notes, je me suis surpris à avoir rétrospectivement ici ou là quelques réactions épidermiques vis-à-vis des auteurs : Je me suis dit parfois « Oui... tout cela est bien... sans doute avec des enfants plus doux que les miens... mais avec ms lascars, je ne vois vraiment pas comment mettre cela en pratique à la maison ! »
Et puis je me suis repris, en me disant que tout est préférable à la médiocrité, au statu quo. Comme dit le sage, « Si vous faites toujours plus de ce qui ne marche pas, vous obtiendrez toujours les mêmes résultats »... alors cela m’a donné envie de franchir le pas, malgré mes réticences et tous mes « gna gna gna » de mauvaise augure.
Précisons donc qu’il ne faut surtout pas voir ce livre comme un ensemble de recettes toutes faites, à appliquer mécaniquement et sans réfléchir, avec l’idée d’en obtenir des effets miracles et immédiats. Non. Plus simplement et plus prosaïquement, il est préférable de se contenter de ceci : certaines attitudes, certains comportements ont démontré leur efficacité pour atténuer la rivalité qui oppose frères et sœurs. Cela étant dit, ce qui compte avant tout est l’état d’esprit dans lequel tout cela est fait. N’oublions pas que rien n’a de sens sorti de son contexte (raison pour laquelle je vous encourage à lire le livre pour le cas où ce que j’en rapporte vous « donnerait des boutons » !).
Tout en étant très intéressé par la lecture de l’ouvrage en question, je me suis même temps senti quelque peu frustré par la longueur et la multiplicité des témoignages de parents, ainsi que par les nombreux états d’âme exprimés par les auteurs lors des différentes séances de groupe. Cela m’a donné l’envie d’en extraire un certain nombre d’« idées fortes » (12, en fait) afin de pouvoir me référer par la suite à tout ce que j’ai trouvé de véritablement utile et pratique pour mon utilisation personnelle.
Je me propose de partager aujourd’hui ces notes de lecture avec vous (si vous le souhaitez, vous pouvez lire auparavant de larges extraits du dos du livre, ou encore quelques précisions légales).
Le livre me semble reposer sur un constat paradoxal : Le plus souvent, c’est en voulant à tout prix que nos enfants s’aiment que nous aboutissons à une situation où ils se détestent. A l’inverse, c’est en acceptant l’idée qu’ils ne sont pas tenus de s’apprécier mutuellement (du moment qu’ils se respectent) que nous aboutissons à une situation où ils finissent par beaucoup mieux cohabiter... puis (le plus souvent) par s’aimer !
Les auteurs nous invitent à faire en sorte de ne pas fabriquer des stéréotypes. N’enfermons pas nos enfants dans des rôles (« Décidément, celui-là est bien le sportif ... [ou l’artiste... l’intellectuel... le clown... etc.] de la famille »). Tâchons de ne jamais les dévaloriser, même (...et surtout !) si nous sommes à bout de nerfs. Traitons nos enfants non pas en fonction de ce qu’ils sont, mais en fonction de ce que nous voudrions qu’ils deviennent.
Cela dit, si ce qu’ils font ou disent nous met véritablement en colère, n’hésitons pas à dire tout simplement... que nous sommes en colère ! Rappel : La colère est un sentiment parfaitement légitime et adapté lorsqu’il y a attaque dans nos valeurs, ou bien lorsque nous ressentons une injustice ou une frustration. Elle sert à défendre nos valeurs, notre intégrité, et à nous affirmer.
Un très grande place est également accordée à l’importance de l’expérience de chacun d’entre nous (parent) lorsqu’il était enfant, de son propre vécu en tant que frère, ou sœur dans sa fratrie d’origine. Dans les séminaires organisés par les auteurs, il y a toutes sortes de « remontées » parfois poignantes, souvent riches de sens en ce qu’elles éclairent le présent sous un jour nouveau.
Exemple : Tu as l’air furieux... tu ne voudrais pas qu’il prenne toutes tes affaires sans te demander la permission...
(à un enfant qui « se plaint » de son frère ou de sa sœur).
En parcourant mes propres notes sur la question de la reformulation, j’ai pu me remettre en mémoire que reformuler permet de :
- Rester centré sur celui qui parle
- S’intéresser à lui, lui montrer qu’il est écouté et respecté
- Vérifier que nous avons compris
- Gagner du temps
- Se dissocier
- Se reposer (dé stresser par rapport à la situation)
- Mettre l’autre en confiance
- Permettre à l’autre de préciser sa pensée sans qu’il se sente agressé
- Rester soi-même en confiance
...Comme « dessiner sa colère », ou instaurer un « cahier de rouspétances »...
Cela m’a paru très intéressant... et en même temps pas toujours facile à mettre en œuvre (...ce qui ne constitue pas une raison suffisante pour ne pas essayer :-)
A chaque fois que vous êtes tentés de comparer vos enfants entre eux (« ...Ton frère ne ferait jamais cela »), attachez-vous plutôt à décrire ce que vous ressentez, sans faire de référence à l’autre enfant.
Vous pouvez par exemple décrire ce que vous voyez...
Je vois une veste toute neuve par terre...
...ou ce que vous ressentez...
Cela me contrarie...
...ou encore ce que l’on peut faire pour remédier à cette situation...
La place de cette veste est dans la penderie.
Attachez-vous à proposer à l’enfant autre chose que ce qui fait l’objet du conflit. Exemple : Si votre enfant se plaint que son frère ou sa sœur a eu « plus de pain » que lui, proposez-lui un autre aliment...
Tu dois avoir faim... Tiens, je te propose de manger une crêpe. Veux-tu une demie crêpe, ou as-tu assez faim pour une crêpe entière ?
Si un enfant vous pose la question et que vous lui répondez « Je vous aime autant l’un que l’autre » ; il ne vous croira pour ainsi dire jamais... ou du moins jamais tout à fait. C’est ainsi ! En revanche, vous pouvez par exemple leur dire « Je vous aime chacun d’une manière unique, parce que chacun d’entre vous est unique, et donc incomparable. Tu es le seul « toi » dans le monde entier et personne d’autre ne pourrait prendre ta place ».
Vous pouvez également leur donner des exemples plus parlants pour eux, et plus adaptés :... « Préfères-tu manger une bonne tartine, ou regarder un bon dessin animé ?... ». L’absurdité de la question leur sautera immanquablement aux yeux !
Exemple : vous êtes en train de passer du temps avec votre fille pour discuter avec elle de la préparation de son anniversaire. Soudain, votre fils réclame votre attention en vous faisant remarquer que vous avez déjà passé beaucoup (...trop ?) de temps avec sa sœur (...en n’hésitant pas à faire tout ce qu’il peut pour vous culpabiliser). Si vous cédez sans en avoir fini avec la sœur, cela « libèrera » son jeune frère de sa frustration, mais occasionnera probablement une frustration encore plus grande pour elle ! Cela paraît tout simplement cornélien ! Cela dit, j’ai bien aimé la proposition des auteurs :
Quand j’en aurai fini avec ta sœur, tu me diras comment tu voudrais qu’on organise ton anniversaire à toi, et je te consacrerai tout le temps qu’il faudra.
...Ou encore (exemple d’un parent qui aide son enfant à faire ses devoirs)... :
Je sais que je passe beaucoup de temps avec ta sœur sur ce devoir de maths. C’est important pour elle. Quand j’aurai terminé, je veux que tu me dises ce qui est important pour toi.
S’il s’agit d’un échange de mots :
- A l’agresseur : Arrête de t’exprimer comme ça. Tu es tout à fait capable d’obtenir ce que tu veux en t’exprimant plus correctement !
- A l’agressé qui se « victimise », et qui « rapporte » ce que l’autre lui a fait :
Il t’a dit cela ? Pourtant, il sait aussi être gentil, et demander ce qu’il veut avec beaucoup de gentillesse...
Très bon plan d’action proposé par les auteurs pour traiter une dispute :
1. Écouter la version de l’un et de l’autre avec respect (bien entendu, dans les deux cas, « l’autre » ne doit pas interrompre celui qui parle).
2. Reconnaître la gravité du problème (ne pas minimiser). Exemple : C’est un problème difficile : deux enfants et un seul jouet !
3. Manifester de la confiance quant à la capacité des enfants à trouver une solution qui leur convienne mutuellement.
4. Quitter la pièce.
C’est le dernier point qui m’a le plus surpris... Mais à bien y réfléchir, n’est-ce pas là le meilleur moyen de ne pas être l’objet d’un enjeu ? (c’est tellement tentant d’essayer d’amener un de nos parents à prendre parti !). C’est aussi un moyen d’arriver à ce que nos enfants soient un jour autonomes...
L’important est que chacun des protagonistes comprenne qu’il a intérêt à négocier... car si en définitive il y en a un d’entre eux qui est obligé de « céder », ce sera tôt ou tard préjudiciable pour tous (comme toujours quand on tombe dans le « payer », ou le « faire payer »).
Quand des enfants se disputent, il y va de leur intérêt de trouver une solution qu’ils négocient eux-mêmes. Leur bénéfice est immédiat... sans parler de la tranquillité des parents... J
Il peut être parfois judicieux de ne pas accorder d’importance à « l’agresseur »... et de ne s’occuper que de « l’agressé »...
Viens, je vais te soigner... Ton frère a besoin d’apprendre à s’exprimer avec des mots, pas avec ses poings...
L’idée de ne pas s’occuper de « l’agresseur » a peut-être de quoi faire bondir... mais souvenons-nous que l’agresseur cherche le plus souvent à attirer l’attention sur lui, à tout prix, que ce soit en positif ou en négatif. Il serait en quelque sorte paradoxal qu’il arrive à ses fins !
En cas de danger immédiat, séparer les enfants, et renvoyer chacun dans sa chambre.
Réserver cette manière de faire aux seules situation de danger immédiat (et expliquer aux enfants qu’ils sont en danger).
Exemple d’un enfant qui accuse son frère aîné de vouloir lui extorquer un de ses jouets « par la force » :
Ce jouet t’appartient. Tu peux très bien aller dire à ton frère « C’est moi qui décide quand je veux te le prêter ».
Ainsi, l’enfant apprend à s’affirmer davantage (au lieu d’avoir tout le temps recours à une autorité), et à devenir plus autonome.
Cela ne me plait pas de t’entendre raconter ce que ton frère fait ou ne fait pas... En revanche, si tu veux me parler de toi, je serai heureux de t’écouter.
Les auteurs privilégient l’idée d’instaurer la tenue régulière de discussions en famille, au cours desquelles chacun peut exprimer ses besoins, attentes, et éventuellement frustrations.
Idée intéressante : Faire lister aux enfants les différents sujets de dispute qui existent dans la famille :
- Problèmes de propriété (« cet objet m’appartient »)
- Problèmes de territoire (« C’est ma chambre »)
- ...
Les auteurs racontent l’exemple d’un père qui, après que ses fils se soient chamaillés pour une chaise, s’est lui-même assis « d’autorité » sur « l’objet de la dispute », et, devant la frustration exprimée par les deux enfants, leur a déclaré « Je suis prêt à me lever de cette chaise si (...et seulement si) vous êtes capables de trouver un arrangement tous seuls. Maintenant, filez ! ».
A la grande surprise du papa, ses deux fils sont revenus très peu de temps après, avec un scénario du type C’est untel qui aura la chaise pour le déjeuner, et l’autre pourra l’avoir au moment du dîner ».
Le père fut à ce moment-là convaincu que lui-même n’aurait jamais eu l’idée de trouver cette solution aussi rapidement... et que, même si cela avait été le cas, il n’aurait sans doute pas pu la faire accepter aussi facilement !
Les parents qui échouent dans leurs tentatives de régler les conflits entre leurs enfants ne devraient surtout jamais se culpabiliser... Certains enfants ne s’entendent malheureusement jamais ensemble, quel que soit le savoir-faire des parents. Moins on fera une fixation là-dessus, et plus nous augmenterons nos chances de succès, paradoxalement...
J’ajoute que les auteurs (deux femmes, en fait... je répugne à écrire « auteures », je trouve ce mot très moche ;-)
...que les femmes qui ont écrit ce livre, donc, ont fait preuve d’une très grande humilité en n’hésitant pas à relater les expériences pénibles qu’elles ont vécu sur ce point avec leurs propres enfants, tout spécialistes qu’elles sont. Je trouve que ce fait est tout à leur honneur et qu’il doit être porté à leur crédit.
Une notion qui est développée tout au long de ce livre (sans jamais être citée de manière explicite) est celle de « virus de pensée », notion que l’on retrouve dans plusieurs techniques de développement personnel, à commencer par la PNL. En gros, un virus de pensée est une espèce d’idée terrorisante qui vient de manière « parasite » occuper progressivement une part de plus de plus grande de notre espace mental de manière de plus en plus obsessionnelle, pour finir par « prendre toute la place », empêchant ainsi notre cerveau de fonctionner normalement. Les deux virus de pensée les plus connus peuvent se résumer par ces deux interrogations ô combien angoissantes :
- « Y en aura-t-il assez pour moi ? » (virus de l’aîné...)
- « Suis-je aussi fort que... ? » (virus du cadet)
Cette notion de virus de pensée a le mérite de nous permettre de reconsidérer nombre de conflits... petits, moyens, grands... planétaires, territoriaux, conflits de systèmes de pensée... bref, toutes les situations où « ceux qui n’ont pas » sont jaloux de « ceux qui ont », les grands jouant des coudes pour écarter les petits, les petits allant se plaindre aux instances supérieures (cette idée est développée à la toute dernière page du livre).
Voilà. Si ces notes vous ont intéressé, je vous invite à déposer ici vos commentaires éventuels, et bien entendu à lire in extenso « Jalousies et rivalités et entre frères et sœurs » - Adele FABER et Elaine MAZLISH – © 1989, 1993, 2003, Éditions STOCK.
Voici de larges extraits de ce que l’on peut lire au dos du livre :
« Une des grandes sources de stress dans les familles, ce sont les incessantes disputes entre enfants. Les moqueries, les provocations, les chamailleries qui n’en finissent pas pèsent lourdement sur la vie familiale. Pour ramener à tout prix la paix, les parents tour à tour supplient, menacent, punissent, prennent parti, mais rien ne semble avoir d’effet. Au bout d’un certain temps, la plupart des parents se résignent : les conflits entre frères et sœurs leur semblent le prix à payer lorsqu’on veut plusieurs enfants.
Adele FABER et Elaine MAZLISH refusent l’idée que rien ne peut être entrepris dans ce domaine. Fortes de leur expérience – elles ont enseigné pendant des années la communication familiale – les deux auteurs ont constaté que certaines attitudes, certains comportements étaient efficaces pour atténuer la rivalité qui oppose frères et sœurs.
[...] Des dialogues vivants, des bandes dessinées décrivent les nombreuses formes de jalousie et montrent comment favoriser la coopération plutôt que la compétition.
[...] Ce livre se lit comme un reportage et peut changer beaucoup dans l’atmosphère des familles. »
Précision légale :
Il est vrai que je ne suis, très clairement, pas du tout en règle de publier un certain nombre des textes présentés ici. Je joue sur l'autorisation tacite des auteurs à me laisser publier leurs oeuvres. Qu'il soit clair que ceci n'a aucun but commercial. Je ne cherche en aucun cas à nuire aux auteurs mais simplement à leur rendre hommage. Toutefois, si vous, auteur ou ayant droit d'un de ces textes, aviez la moindre remarque à me soumettre, sachez bien que je ne chercherai pas à jouer au plus fin et que si tel est votre souhait, je retirerai séance tenante mon article de ce blog, la mort dans l'âme, il est vrai. Un auteur m'a un jour affirmé par mail que le fait de publier ses textes ne le gênait absolument pas. J'ai été ravi de cet écho. Il m'a cependant bien fait comprendre que ses pairs n'étaient pas tous de son avis. Donc, le cas échéant, n'hésitez pas à m'envoyer un commentaire afin que nous évitions tout litige, si vous, auteur et/ou ayant droit, vous sentiez lésé en quoi que ce soit par cette publication de vos oeuvres.
Commentaires :
Anonyme |
Commentaitre, références de lecture, et histoire vécueBonjour, j'ai apprécié le condensé des grandes lignes du livre "jalousies et..." Voici les références de quelques lectures sur la question : il s'agit de "la communication non violente" de M.D ROSENBERG dont le sous titre très éloquent est "les mots sont des fenêtres ou bien ce sont des murs". ce livre est une invitation à une communication constructive et respectueuse de "la carte du monde de l'autre". M.D.R y développe le "comment faire" en queques principes essentiels qui rejoignent ce que j'ai pu lire des grandes lignes de "jalousie et rivalité...." de mémoire (mes notes sont ailleurs) cela donne: 1) exprimer ce que l'on perçoit (Félix, je vois tes chaussettes traînées dans le salon) 2) exprimer ce qu'on ressent (je passe beaucoup de temps à nettoyer la maison et je me sens découragée lorsque je vois....) 3) exprimer ses besoins (j'aime que la maison soit propre...) 4) exprimer une demande ( pourrais tu déposer tes chaussettes dans le panier...)
le besoin est différent de... l'attente une demande différente d'une... exigence le non verbal est un langage lorsque nous nous sentons compris et respectés, nous sommes prêts à changer... Etc... il développe également les attitudes qui nourrissent les conflits et amènent la violence par la dévalorisation de la personne tel que ...la comparaison... etc écriture simplissime, exemple de situations dans lesquelles chacun peut se reconnaître, humour... Voici pour ce livre que j'ai eu beaucoup de plaisir à lire et dont je dirais qu'il est libérateur (je l'ai utilisé au cours d'une intervention en communication interpersonnelle) L'autre livre qui date, est le fameux "Parents efficaces" de Thomas GORDON qui a su exploiter le filon...le livre n'en est pas moins intéressant et c'est un formidable outil de communication, très pédagogique avec des shémas simples [...] il y développe l'écoute totale ou silencieuse, le feed back et tout ce qui est développé dans le livre précédent à propos de la communication non violente
Mes 2 garçons Théo 12 ans et Jonas 10 ans (le petit dernier) ont chacun leur tour la responsabilité de « mettre la table » Un soir que c’était le tour de Jonas, je participe activement à cette tâche avec la très bonne intention parentale de l’aider (ceci participerait à accélérer l’heure du coucher en permettant de libérer du temps pour ceci ou cela…) |
latelierdesparents 26-01-06
à 22:01 |
BravoBravo pour l'éloge du livre "jalousies et rivalités entre frères et soeurs"! J'ai connu les livres et les ateliers de Faber et Mazlish aux USA où j'ai habité. Depuis le début de ce mois ci, j'essaye de faire connaitre leur "approche" en France en servant de relais à l'agence canadienne qui a traduit les autres livres des auteurs ("parents épanouis, enfants épanouis" ; "Parler pour que les enfants écoutent, écouter pour que les enfants parlent" ; "parler aux enfants pour qu'ils apprennent à la maison et à l'école".) et le matériel d'animation. Je suis joignable par: lateliersdesparents@wanadoo.fr A bientôt, j'espère. Sophie |
Mieuzapp 01-02-06
à 11:42 |
Re: BravoBonjour Sophie. J'ai essayé de vous envoyer un mail, mais il m'est revenu ! L'adresse lateliersdesparents@wanadoo.fr semble ne pas fonctionner... J'espère que ma réponse directe (sur ce commentaire) pourra renouer le fil, mais j'en doute (l'article d'origine fait désormais partie des "archives" de Joueb...). Voici quand-même ci-dessous le texte de mon mail... Merci beaucoup pour votre commentaire. Pardon pour le retard que je mets à y réagir. C'est fou comme le monde est petit avec internet ! Lorsque j'ai publié mon article, je ne m'attendais certes pas à entrer en contact avec quelqu'un ayant connu Faber et Mazlish aux USA ! Je serais très heureux d'en savoir plus sur votre activité. Qu'est-ce que l'atelier des parents ? Y travaillez-vous ? Êtes-vous un éditeur, une association... Etc. De mon côté, vous pouvez (presque) tout savoir à mon sujet en allant visiter mon site perso (également mentionné sur mon blog) :
Je suis impatient de recevoir de vos nouvelles. Bien à vous, Bernard |
lilouala 08-04-08
à 13:49 |
merciJe suis en train de chercher qque chose sur ce sujet, on est en plein dedans: fils 2 ans et demi, fille un an - ils commencent a se bagarer a vif... ça m'inquiète. Je sais que je fais beaucoup de fautes, vraiment, mais je les constate que après la crise... ça m'agasse. il faudra que je sois moins vigilante alors, paradoxalement... je vais essayer. Merci pour cette idée. Votre blog est très utile, même si la tranche d'âge n'est pas la même. |
à 17:04