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Le tout premier blog de Bernard Lamailloux


«Vis comme si tu devais mourir demain. Apprends comme si tu devais vivre éternellement» (Gandhi)

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Actualités
Formateurs : une "offre d'emploi" à se faire rouler dans la farine...
Authentique ! Vu sur le net ! Ce n'est (hélas) pas une blague !
La tragique histoire du viticulteur Emmanuel Giboulot, et le buzz qui s'en est suivi
Liliane Bettencourt interrogée par des policiers
Reprise d'un texte publié le 26/07/2010 sur le blog de Jean-François Kahn
La plateforme d'échanges "Musicien Création"
Réseau de musiciens libres...
Enfin seul : photos des répétitons
quelques photos des répétitions...
Clip vidéo : Répétition de la pièce "Enfin seul..."
ça répète, ça répète, ça répète, ça répète...
PowerPoint, e-learning, et SlideShare
Une prétentation très bien conçue (...de mon point de vue).
A mes enfants...
Cinq questions pour des champions
Un jeu de formation inventé par l'illustre et génial Thiagi
Melancholia 2008
Le travail des enfants continue de bien se porter depuis 1856
Merci...
J'ai découvert Mario, un guitariste portugais
Il ne faut jamais tuer le rêve...
La stratégie de Walt Disney appliquée à deux gamines de 13 ans
Le syndrome PowerPoint
Retranscription d'un article désopilant d'Anne-Caroline PAUCOT sur http://www.anticipedia.info/spip.php?article143
Vivre en entreprise, un miracle de tous les instants
Quel joli tableau que celui de tous mes semblables...
A l’amitié, l’amour, la joie
Pièce de théâtre entièrement moulée à la louche et dorée sur tranche
5 conseils rapides pour saborder une session de formation
Reprise d'un texte (très drôle, à mes yeux) trouvé sur http://blog.ronez.net/?p=103

Contes philosophiques
Un saladier de cailloux
Une magistrale leçon de gestion du temps...
Un mexicain pêcheur et philosophe
Pour en finir une bonne fois pour toutes avec le syndrome du "toujours plus"...
Histoire de l’âne tombé dans un puits
A ne jamais oublier, surtout dans les moments les plus sombres (conte philosophique d'origine inconnue)
Y'a un bug dans mon ego...
Histoire d'un dépannage un peu particulier...
Le roi qui voulait apprendre à jongler
Un conte philosophique sur l'apprentissage écrit par mon ami Bruno HOURST

Divagations
SANTORI (Définition)
Qu'est-ce qu'un Santori ? Si vous voulez le savoir, vous avez bien fait de venir...
Comment répondre à un refus de candidature pour un emploi
Arrêtez de tirer sur les chanteurs marrants !
C'est pas parce qu'ils nous font rire que ce ne sont que des comiques troupiers...
Petit Q.C.M. : La mésaventure de Bertrand
Les tribulations d'un colleur (intérimaire) de codes barres
L'origine des usines à gaz
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué... ?

Qui suis-je ?
Formateur, passionné par ce métier, et aussi par tout ce qui touche au développement personnel et aux ressources humaines (pour plus de précisions, rendez-vous sur mon site pro).
En dehors de ça j’adore faire mon intéressant en écrivant des chansons et des nouvelles, en faisant un peu de théâtre, mais aussi en dessinant des petits personnages, et beaucoup d’autres choses encore...

Voilà. Portez-vous bien, j'ai hâte de vous lire à mon tour :-)

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Vendredi 07 Décembre 2012
SANTORI (Définition)
--> Qu'est-ce qu'un Santori ? Si vous voulez le savoir, vous avez bien fait de venir...
Saint Santori terrassant un dragon hébétéLe Santori est un objet mythique de la légende arthurienne, objet de la quête des chevaliers de la Table ronde. À partir du XIIIe siècle, il est assimilé au Saint Graal (la coupe qui a recueilli le sang du Christ) et prend le nom de Saint François Santori du Grand Turquet. La nature du Santori et la thématique de la quête qui lui est associée ont donné lieu à de nombreuses interprétations symboliques ou ésotériques, ainsi qu'à de multiples illustrations artistiques.

Par analogie, le Santori désigne parfois un personnage (réel ou imaginé) aux grandes capacités physiques ou morales. Le plus souvent (mais sans exclusive), il en fait preuve dans la difficulté ou l'effort. Ex : Chez ces âmes habituées au luxe et à la mollesse (...) il s'est trouvé, aux jours du malheur, des ressources imprévues d'énergie, de courage et de résignation à l’image de François Santori (SANDEAU, Mlle de La Seiglière, 1848, p. 25). Tout Santori qui se respecte doit, grâce à une stricte discipline de vie et à l'observance continuelle de règles d'hygiène, utiliser au mieux ses ressources physiques, mais aussi morales (R. VUILLEMIN, Éduc. phys., 1941, p. 105).

De nos jours, le grand Santori est tellement célèbre qu’on utilise généralement l’adjectif « santorien » pour désigner des aptitudes ou des penchants faisant de près ou de loin penser au Maître (ou à défaut, à l’idée que l’on s’en fait). D’après les rares témoignages de ceux qui ont eu le privilège de l’approcher, il est généralement admis qu'on n'a le droit moral d’invoquer une essence ou une divinité santorienne dans le seul cas où on a épuisé toutes les ressources du courage et du dévouement (LAMENNAIS ds L'Avenir, 1831, p. 371). On reconnaît le philosophe, le penseur, l’écrivain, l’artiste, l’athlète véritablement santorien au fait qu’il déploie toutes ses qualités ou ses dispositions, les possibilités de son adresse, de ses muscles, de son intelligence (Jeux et sports, 1967, p. 162).

Il est intéressant de noter que le Santori moderne a donné naissance à une nouvelle discipline : la Santorie. Celle-ci est continuellement recueillie, théorisée et diffusée par les exégètes de François Santori en un corpus de textes quasi sacrés s’efforçant de présenter un ensemble de moyens et possibilités offerts par le Maître à l'usager moyen pataugeant dans le brouillard de l’inconscience, de la médiocrité, voire de l’hébétude. Ex : Pour résoudre cette grande tâche d'urbanisme, il a été indispensable d'utiliser les ressources de la Santorie moderne (LE CORBUSIER, Charte Ath., 1957, p. 110). De nombreux géomètres, géologues, paléontologues, chimistes, bûcherons et autres astrophysiciens (...) ne craignirent pas de recourir aux ressources de l'algèbre et de l'analyse telles qu’elles nous ont été dispensées par François Santori (Hist. gén. sc., t. 3, vol. 1, 1961, p. 29).

Bref, c’est un type bien.

 

Ecrit par Mieuzapp, à 09:27 dans la rubrique "Divagations".
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Vendredi 30 Novembre 2012
Comment répondre à un refus de candidature pour un emploi
Monsieur le Directeur du Personnel, 

Votre lettre datée du [ DATE ] m'est bien parvenue. Après un examen attentif de votre demande, j'ai le regret de vous faire savoir que je ne peux réserver une suite favorable à votre refus de m'offrir un emploi dans votre société.

Cette année, j'ai déjà eu la chance de recevoir un nombre exceptionnellement grand de lettres de refus. Aussi vous comprendrez que, disposant d'une réserve variée et prometteuse de candidats au refus, il m'est malheureusement impossible de donner une suite favorable à tous les refus qui me parviennent.

Croyez-le bien, vos qualités personnelles ne sont nullement en cause. Simplement, il se trouve que malgré votre incontestable expérience sur le terrain du refus de candidats j'ai le regret de vous faire savoir que votre refus n'entre pas dans le cadre de mes besoins actuels.

Je me trouve par conséquent dans l'obligation de me considérer comme nouveau membre de votre société. Je prends mes fonctions immédiatement et serai très heureux de vous rencontrer bientôt. 

En vous souhaitant plus de succès pour vos futurs rejets, je vous prie d'accepter, Monsieur le Directeur du Personnel, l'expression de mes sentiments les meilleurs.
Ecrit par Mieuzapp, à 08:50 dans la rubrique "Divagations".
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Vendredi 16 Novembre 2007
Arrêtez de tirer sur les chanteurs marrants !
--> C'est pas parce qu'ils nous font rire que ce ne sont que des comiques troupiers...

Plus je vieillis et plus je trouve les gens sérieux superficiels, disait l'autre. Je souscris complètement à ce sentiment.

Lire la suite de l'article...
Ecrit par Mieuzapp, à 17:53 dans la rubrique "Divagations".
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Dimanche 24 Juin 2007
Petit Q.C.M. : La mésaventure de Bertrand
--> Les tribulations d'un colleur (intérimaire) de codes barres

Si mon cœur est étroit, à quoi me sert que le monde soit si vaste ? (proverbe arménien) 

Bertrand est un homme de 50 ans qui après une vie de consultant indépendant pleine de hauts et de bas a décidé d’arrêter son activité pour tenter de prendre en marche le train du salariat.

Étant donné que ce n’est pas chose facile, Bertrand a décidé de s’inscrire auprès de plusieurs agences de travail temporaire, en attendant mieux, tout en affûtant de son mieux ses armes de baroudeur quinquagénaire nouveau venu sur le marché de l’emploi.

 


Car force lui est de constater qu’à l’instar de beaucoup de ses semblables, Bertrand ne remonte pas grand-chose dans les filets qu’il jette de son mieux pour aller à la pêche au CDI... Par bonheur, une de ces fameuses agences d’intérim (...une seule !) lui confie quelques missions, sans que cela s’enchaîne régulièrement, mais enfin cela lui permet tout de même d’avoir une activité en pointillés et de garder la tête hors de l’eau en attendant mieux.

 

Le contenu de ces missions est des plus variés, pas toujours passionnant, pas extraordinairement payé (c’est un euphémisme) mais sachant qu’il n’est guère en position de faire la fine bouche, Bertrand s’efforce d’y faire bonne figure en portant le plus dignement possible les couleurs de cette si sympathique agence qui par ces temps difficiles lui amène tout de même du boulot, excusez du peu.

Dernièrement, il lui a été proposé un nouveau challenge : il s’agissait (moyennant le SMIC) de passer des journées entières à coller des étiquettes de codes barres sur des documents pour le compte d’un service administratif quelconque, ceci pendant deux semaines. Bien entendu, Bertrand s’est empressé d’accepter.

C’est là que ses malheurs ont commencé : le premier jour il a été aimablement accueilli par une chef de service qui lui a expliqué le travail à faire. C’était simple, routinier, ultra taylorisé mais bon, pas de quoi fouetter un chat, pensait-il...

Pourtant, à a fin de la journée, une petite pression a commencé : on lui a parlé des quotas, du nombre d’étiquettes, de la quantité de boulot qu’il était censé abattre dans une journée, l’objectif étant d’atteindre un total de 3 000 étiquettes par jour (Waouw !). A l'issue de ce premier jour, il n’avait même pas atteint la moitié de ce chiffre, mais bon, tout le monde pouvait y arriver au bout d’une courte période d’acclimatation, à ce qu’il paraissait...

Mais curieusement, au fil des jours, cette pression devenait de plus en plus insistante, en même temps qu’un mal de dos, lancinant et insistant lui aussi, ne quittait plus Bertrand du matin jusqu’au soir (il se bourrait même de granules d’arnica toutes les deux heures, sans succès...).

Cet « horizon des 3 000 » lui paraissait tout de même bizarre, mais bon, il s’y est attelé de son mieux, alors que la douleur, elle, augmentait dans les mêmes proportions que la pression (tiens ?).

Le jeudi il avait tout de même atteint le seuil journalier des 2 600 étiquettes, moyennant de méritoires efforts. A la fin de la journée il était chaleureusement encouragé par toute l’équipe. Mais quittant son travail le dos ravagé de douleurs ce soir-là, il décida d’appeler l’agence d’intérim pour leur dire qu’il comptait terminer le lendemain (ainsi il pouvait finir sa semaine, c’était carré, propre, l’agence pouvait trouver quelqu’un d’autre tranquillement pour la reprise du lundi matin, et l’entreprise serait, pensait-il, le moins lésée possible). L’agence intérim, compréhensive, reçut le message cinq sur cinq, et il fut convenu que Bertrand expliquerait lui-même la situation à la chef de service en se rendant le lendemain à sa journée de boulot (la dernière, donc).

C’est ce fameux vendredi matin que tout s’est corsé ; Bertrand se présenta dans le bureau de la dame, lui annonça que ses douleurs étant trop insupportables il était au regret de devoir arrêter le soir même, mais qu’il avait tenu à venir tout de même faire cette dernière journée afin que tout le monde puisse « se retourner » par rapport à cette fâcheuse situation. Il ajouta même qu’il était décidé coûte que coûte à produire le même score que la veille, soit 2 600 quoi qu’il lui en coûte, et qu’il ne quitterait pas les lieux avant d’avoir atteint l’objectif qu’il s’était lui même fixé, et qu’il proposait à cette dame de valider.

Mais à sa plus grande surprise la dame ne l’entendit pas du tout de cette oreille : ce jour-là il lui fallait absolument « 3 000 ou rien », à prendre ou à laisser (« ...je ne remets pas en cause ce que vous me dites, mais ce n’est pas mon problème. D’ailleurs l’agence sait très bien à quoi s’en tenir, j’ai besoin de personnes pouvant faire 3 000 étiquettes par jour, point final. Si quelles que soient vos raisons vous ne pouvez pas, je n’ai plus besoin de vous »).

Bertrand est resté tellement abasourdi qu’il a dit d’emblée à cette dame le fond de sa pensée, à savoir qu’il considérait faire déjà son maximum, qu’il ne s’était certes pas attendu à des félicitations, mais tout de même, disons à un minimum de reconnaissance pour cela, et qu’à la lumière de la réaction rencontrée il se demandait s’il n’aurait pas mieux fait de tout arrêter net en ne pensant qu’à lui, sans s’occuper des éventuelles conséquences...

...Mais hélas rien n’y fit. La dame campa sur des positions, forte du bon droit de ceux qui estiment avoir forcément raison tout simplement parce que ce sont eux qui payent. A un moment, Bertrand, bafoué dans ses valeurs, répondit à la dame sur un ton, disons un peu plus élevé, et là, la dame a définitivement emporté la victoire suprême en lui demandant de sortir de son bureau puisque ayant élevé la voix, il « ...n’avait plus rien à faire avec [elle] » (...toute cette diatribe d’un niveau « force tranquille de broussaille » étant accompagnée d’un petit sourire malicieux qui est une des marques du pouvoir lorsqu’il est entre les mains de personnes aux valeurs, disons discutables).

C’est à peine croyable : cette personne lui mettait carrément le couteau sous la gorge, et préférait se passer carrément de lui en recommençant tout un processus à zéro (...trouver une nouvelle personne, la former, attendre sa montée en puissance...), alors que tout cela allait arriver de toute façon dès le prochain jour ouvrable ?). Incroyable mais vrai, ce jour-là, la dame préférait avoir zéro que 2 600 !

Alors bien sûr, Bertrand a pris congé, que pouvait-il faire d’autre ? l’idée de négocier un quota intermédiaire ne lui est même pas venue, et puis au point où les choses en étaient arrivées c’était de toute façon au-dessus de ses forces, et surtout de ses valeurs...

Il est parti, donc, mais avec un très net sentiment d’avoir échoué quelque chose, et, ce qui est encore plus grave à ses yeux, sans savoir quoi au juste.

A votre avis, où Bertrand a-t-il commis une erreur (plusieurs réponses possibles) ?

 

...En acceptant cette mission pas très folichonne au lieu de rester tranquillement chez lui à jouir de ses maigres droits assédiques ?

 

...En ne demandant pas d’emblée plus de précisions sur ce fameux objectif 3 000 (comment y parvenir, y a-t-il une progression, y a-t-il un objectif plus précis de montée en puissance de chaque journée et si oui de quel ordre est-il, etc.) ?

 

...En n’arrêtant pas les frais dès le premier soir où le mal de dos a commencé, quitte à laisser l’agence intérim et le client de dépatouiller tous seuls pour la suite des événements ?

 

...En n’anticipant pas suffisamment la réaction de la vilaine chef de service, dont il a eu jusqu’au bout la naïveté de penser qu’elle se montrerait, peut-être pas reconnaissante (restons réalistes), mais du moins satisfaite de la manière dont lui, Bertrand, avait géré la situation de son mieux, ce qui a eu pour effet (lorsqu’à la fin le masque est vraiment tombé) de le faire tellement tomber des nues, qu’en effet il s’est trouvé pratiquement contraint d’élever la voix pour défendre ses valeurs ?

 

Voilà. A l’heure qu’il est Bertrand attend vos suggestions, si vous avez une idée (n’importe laquelle), envoyez-la moi, je la lui transmettrai. Pour l’heure, il est quelque peu tristounet, dubitatif, et passe une grande partie de son temps à se gratter la tête.

Et moi qui le connais un peu, je sais très bien qu’il a HORREUR de ça...

 

_______

P.S. : Épilogue de l’histoire : finalement, la dame a eu plutôt raison d’agir comme elle l’a fait, puisqu’aux dernières nouvelles l’agence intérim lui a trouvé un nouveau souffre douleur en quelques minutes. Tout va donc pour le mieux dans le meilleur des mondes...

Cela me rappelle un fait divers rapporté jadis par le regretté Pierre Desproges :


« Ému par la pauvreté des habitants des bas quartiers de Naples, un touriste américain leur a distribué tout l’argent liquide qu’il avait sur lui. Un peu plus de 2000 dollars. Il a été aussitôt conduit dans un asile psychiatrique. C’est le progrès. On ne crucifie plus. »

 

P.P.S. : Pour en finir enfin avec cette sale histoire : une illustration qui... illustre bien mon ressenti, justement. Ca s'appelle...

"...WC Hiérarchique".



Ecrit par Mieuzapp, à 19:24 dans la rubrique "Divagations".
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Dimanche 08 Octobre 2006
L'origine des usines à gaz
--> Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué... ?

La distance standard entre 2 rails de chemin de fer au Canada est de 4 pieds et 8 pouces et demi. C'est un chiffre particulièrement bizarre.

Lire la suite de l'article...
Ecrit par Mieuzapp, à 10:51 dans la rubrique "Divagations".
Lien permanent 1 commentaires


Mardi 13 Septembre 2005
Pourquoi j'écris
--> Un texte de Paolo Coelho dans lequel je me suis un peu (beaucoup:-) reconnu...

J’écris parce que, quand j’étais adolescent, je ne jouais pas bien au football, je n’avais pas de voiture, je n’avais pas une bonne pension, je n’avais pas de muscles [...].

Lire la suite de l'article...
Ecrit par Mieuzapp, à 21:33 dans la rubrique "Divagations".
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